Voirles 122 chevalieres. La chevalière est la bague homme par excellence, nourrie par une longue tradition. Jadis symbole de pouvoir, elle s’est totalement démocratisée jusqu’à devenir un véritable accessoire de mode. Mais pour beaucoup, la chevalière reste un bijou précieux, empreint de symbolisme. Créer une alerte bagues chevalieres.
D’après l’Association d’entraide de la noblesse française ANF, la France compterait aujourd’hui trois mille deux cents familles nobles. Voici la définition exacte dont se sert l’association pour catégoriser la noblesse il faut pouvoir justifier de la filiation naturelle et légitime jusqu’à un ancêtre en ligne directe et masculine » et il faut impérativement pouvoir produire un acte officiel récognitif de noblesse régulière française, acquise et transmissible. » Hermine de Clermont-Tonnerre début l’introduction de son guide du savoir-vivre avec une généalogie impressionnante. Sa famille est issue de la noblesse française depuis plus de mille ans ! Fascinant ! En France, la noblesse a encore du prestige. Les premiers titres distinctifs remontent à l’antiquité. On devenait noble par récompense civile ou militaire. Cette origine explique la déférence que nous avons encore à l’égard de ces dignes représentants. Aujourd’hui, nous pouvons encore acquérir un titre. Vous trouverez le mode d’emploi pour obtenir la Légion d’honneur ou l’ordre du Mérite ici. Noblesse et apostrophe Comment s’adresser à un noble ? Pour s’adresser à un noble, il est inutile de citer son titre. Contentez-vous du Monsieur et Madame. Cette règle a une exception les ducs et les duchesses. Et oui, la culture française est friande des exceptions aux règles. La particule ne se nomme pas, sauf si elle est précédée du prénom et du titre de la personne. Par exemple la Baronne Nadine de Rothschild. La noblesse tient la chevalerie pour héritage. Le noble se doit d’être au service des autres. Son comportement est simple et humble. Il est là pour aider la veuve et l’orphelin. Cette grandeur d’âme fait de lui quelqu’un d’exceptionnel. Noble ou pas, il est toujours possible de devenir un gentleman ou une lady des temps modernes. La connaissance et la pratique de bonnes manières permettent cette ascension sociale. Explicationd'un texte de littérature ancienne ou moderne. Durée de la préparation : 2 heures. Durée de l'épreuve : 30 minutes. Coefficient 7. L'épreuve consiste en une explication d'un texte de langue française extrait des œuvres au programme de l'enseignement du second degré. Portrait de François Ier en costume d’apparat Lorsqu’il naît à Cognac le 12 septembre 1494, François d’Angoulême n’est pas destiné à devenir roi. Il n’est en effet que l’héritier d’une branche deux fois cadette de la famille de Valois régnant alors sur la France. Mots-clés Temps modernes Histoire Peinture Photo © RMN-Grand Palais musée du Louvre / Hervé Lewandowski Claude de Seyssel offrant son ouvrage à Louis XII Le 7 avril 1498, Charles VIII, dernier Valois direct, disparaît alors que les six enfants qu'il a eus de la reine Anne de Bretagne sont déjà morts en bas âge. Son cousin Louis d’Orléans lui succède sous le nom de Louis XII. © Bibliothèque nationale de France Fiançailles de François d’Angoulême et de Claude de France Dès 1501, Louis XII décide en secret de marier sa fille Claude à François, désormais duc de Valois, contre l’avis d’Anne de Bretagne qui projette de l’unir à Charles de Habsbourg. Sa maladie, en 1505, précipite les choses. Les États généraux sont réunis à Tours pour annuler le traité de Blois qui avait promis Claude de France à Charles d’Autriche et supplier » le roi de marier Claude à François. © Bibliothèque nationale de France Un livre viatique pour la cour ? Après ses fiançailles, François est amené à Amboise et son éducation en tant que dauphin est dévolue à sa mère Louise de Savoie. En 1508, Louis XII appelle le jeune prince à la cour. © Bibliothèque nationale de France Médaille de François duc des Francs » À partir de 1512 et du dernier accouchement par la reine Anne d’un fils mort-né, Louis XII perd tout espoir de fonder une lignée. Commence l’ascension irrésistible de François de Valois qui, cette année-là , à dix-huit ans, est émancipé de la tutelle de sa mère, entre aux conseils et participe à sa première campagne militaire en tant que lieutenant général du roi. © Bibliothèque nationale de France La mise en bière dans la salle d’honneur, en présence de trois hérauts d’armes Il faudra attendre la mort d'Anne de Bretagne, en janvier 1514, pour que François de Valois devienne effectivement le gendre du roi et épouse Claude de France en mai de la même année. © Bibliothèque nationale de France Tableau dressé pour la station de Claude de France à la Trinité Jusqu’au dernier moment pourtant, l’avenir royal de François de Valois demeure incertain. Louis XII, veuf le 9 janvier 1514 d’Anne de Bretagne, se remarie en octobre avec Marie Tudor, jeune sœur d'Henri VIII d'Angleterre. Mais il meurt le 1er janvier 1515, alors que cette ultime union est restée stérile. François d’Angoulême devient alors François Ier. © Bibliothèque nationale de FranceLamétaphore ne s'arrête pas là . Dès sa première apparition, dans Detective Comics #38 (avril 1940), le jeune Robin est qualifié de "nouveau Robin des Bois". Au même moment, dans Batman #1 (printemps 1940), Batman hérite pour la première fois du surnom de "Dark Knight" ("chevalier noir") qui lui restera attaché tout au long de l'âge d'or des comics.
Je ne sais pas vous mais en quelques années, j’ai déjà eu l’occasion de tester un certain nombre de mise en place des règles et de règles elles-mêmes. Le fait est que je n’ai jamais trouvé chaussure à mon pied. Ou plutôt devrais-je dire que je n’ai pas trouvé de recette miracle qui fonctionne d’une année sur l’autre. Certains élèves, et donc certaines classes, m’ont semblé pouvoir fonctionner sans règles affichées et instaurées de manière cérémonielle » alors que d’autres avaient besoin d’une explicitation maximum des règles. Certains élèves sont parfaitement capables de restituer un certain nombre de règles issues des règlements de classe précédents alors que d’autres partent dans tous les sens sans réussir à organiser tout cela malgré mes efforts de médiation. Pire, travailler sur les règles en classe ne semble pas avoir grande influence sur le respect de celles-ci par la suite. Difficile, quand les classes et les élèves changent tant d’une année sur l’autre mes changements de niveau réguliers n’aidant pas, d’avoir une séquence toute prête, qui marcherait à tous les coups. Difficile d’obtenir un ensemble de règles écrites qui correspondraient aux besoins de toutes les classes. C’est à dire que dans le fond, nous avons tous à peu près les mêmes respect, écoute, etc. mais que je me demande quel rôle joue la forme pour certains élèves et si elle en joue vraiment un si essentiel. J’en suis venue à une conclusion que j’ai déjà tirée pour la gestion des comportements ce n’est pas le système » qui est central mais la posture ». Et quand je parle de posture, je ne parle pas que de l’enseignant. J’ai envie de voir les choses plus en profondeur. Expériences et réflexions Différentes façons d’aborder un règlement de classe Voici une petite liste de choses que j’ai eu l’occasion de tester en classe jusque là Sur la question quand travailler les règles ? » organiser une séquence sur les règles en tout début d’année, sur la base des acquis des précédentes années attendre un peu de connaitre les élèves et imposer, de fait, un certain nombre de règles temporaires ou non moi-même en attendant attendre un peu plus que le besoin se fasse vraiment sentir, pour partir du vécu des élèves Sur la question du fond et de la forme partir de l’expérience des élèves et de leur travail pour rédiger et formuler les règles imposer mes règles et faire un travail dessus avoir déjà préparé les règles mais moduler la formulation selon les remarques des élèves partir du règlement de l’école avec les plus grands faire réaliser un travail individuel, de groupe ou encore des débats Au final, comme je le disais déjà , pas de recette miracle. Ce qui a pu fonctionner à merveille avec une classe n’a pas été aussi magique avec la suivante. J’en suis venue à l’idée que je ne me posais pas forcément les bonnes questions. Si vous avez aussi expérimenté des choses qui ont plus ou moins bien fonctionné, n’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire ci-dessous ! Retour aux fondements Des règles pour vivre en collectivité Pourquoi y a-t-il des règles ? La première réponse qui m’est venue est, sans trop d’originalité pour vivre ensemble, en collectivité. Il semble évident que nous préparons les élèves à leur vie future. A ce moment-là , ils devront pouvoir évoluer au sein de groupes plus ou moins étendus, allant jusqu’à l’échelle de la nation voire du monde et qui sait… peut-être plus ? Cela étant, si on part de ce postulat, il me semble qu’on sous-entend que Suivre les règles est un moyen efficace voire suffisant pour que le groupe au sein duquel elles s’appliquent fonctionne et que tout s’y passe règles sont toujours pensées pour garantir l’harmonie entre les membres d’un groupe et le bon fonctionnement de celui-ci. La première affirmation n’est a priori vraie que si tout le monde respecte les mêmes règles. Qui plus est, ces deux affirmations s’appliquent assez bien à l’école, où les adultes bienveillants proposent un cadre sûr pour les élèves. Cependant, ce n’est pas toujours vrai dans le monde extérieur ». D’ailleurs, si je parle de fonctionner », ce n’est pas non plus un hasard une entreprise fonctionne. De là à dire que tout s’y passe bien pour tout le monde si les règles sont respectées, c’est une autre affaire. Qui plus est, malgré tous nos efforts, les règles pensées pour l’école ou ailleurs doivent parfois être revues à la lumière de nouveaux évènements qui en montrent les limites. Donc, les règles que nous pensons, que nous rassemblons en règlement, ont certes pour objectif de permettre à chacun d’évoluer au sein du groupe classe, école dans une certaine harmonie et sérénité. Pour autant, suivre simplement ce règlement ne suffit pas nécessairement et les règles énoncées dans le règlement sont potentiellement imparfaites et pourraient être questionnées par les évènements. Règlement, règles explicites, règles implicites Qui plus est, il existe des groupes sans règlement et qui fonctionnent très bien. Il peut même s’agir de groupes étendus pensez à une très grande réunion de famille, par exemple. J’ai moi-même eu, une fois, une classe où il n’a pas été nécessaire de s’étendre sur les règles, ni afficher de règlement. Cela ne signifie pas que, dans ces cas, il n’y a pas de règles mais qu’il en existe un certain nombre qui deviennent implicites, jusqu’à ce qu’on les enfreigne en général. Finalement, si on y pense, il y a toujours plus de règles implicites que de règles explicites. On retrouve facilement certaines de ces règles avec les élèves les plus jeunes. Demandez à votre classe de CP ce qu’on peut faire ou non à l’école et ils vous diront surement des choses comme On ne mange pas les livres. » ou encore On ne lance pas de cailloux sur les fenêtres. » Ce sont autant de petites règles qui découlent de principes et de règles plus généraux et qui deviennent implicites avec le temps. Si vous attrapez un cycle 3 qui lance un caillou sur une fenêtre et lui demandez s’il y était autorisé, quand bien même ce cas n’est pas présent dans le règlement de l’école, celui-ci saura vous dire sans peine non ». Les principes fondateurs Comment se fait-il qu’une classe ait pu, une année, se dérouler à merveille en l’absence de texte le règlement en appui ? Comme quoi, il n’y a pas que les classes difficiles qui nous questionnent. Pour mon cas, je récupérais un groupe d’élèves essentiellement issus de la classe d’une collègue avec qui je partage beaucoup. Ce beaucoup », ce sont des principes communs. Nous ne fonctionnons pas à l’identique, nous n’avons pas toujours les mêmes règles, mais elles se basent sur les mêmes principes et les mêmes préoccupations. Et parmi ces préoccupations, je crois qu’il est important de préciser que celle qui me semble la plus importante n’est pas d’en faire de parfaits apprenants ». Non, ma préoccupation première est que chaque élève trouve sa place, se sente bien, en sécurité physique et affective et trouve en lui le courage et la force nécessaires pour s’épanouir. Parce que oui, il faut tout ça pour apprendre et devenir soi » ! Certains enfants peuvent être paralysés par le risque d’échec ou d’autres s’épuiser à force de progresser trop lentement à leur goût. Le climat de classe dans lequel évolue chaque élève me semble essentiel à leur réussite au sens d’accomplissement. Mieux, les élèves, entre eux, partageaient ces principes communs, même s’ils ne les percevaient pas forcément comme nous, adultes. Ils avaient le goût de l’effort, l’envie d’apprendre, le plaisir d’essayer. J’ajouterais même qu’ils avaient de très bonnes habitudes de coopération. Le groupe était vécu comme une force et chacun avait à cœur de voir les autres réussir aussi. Et tout cela, ils étaient parfaitement capables de l’expliciter. J’en suis donc venue à une conclusion que je pressentais déjà les principes généraux qui fondent les règles que nous choisissons d’adopter sont plus importants que le règlement lui-même et méritent qu’on s’y penche explicitement, d’une manière ou d’une autre. Si on prend souvent le temps d’expliciter la multitude de sous-règles » qui découlent du règlement, ces principes semblent trop souvent oubliés. Devenir l’auteur de son propre épanouissement Dans le fonctionnement habituel d’un règlement, ce n’est pas le fait de respecter les règles qui garantit mon propre bien-être et mon épanouissement. C’est le fait que les autres respectent ces mêmes règles qui me permet d’être heureux ou plutôt de ne pas être malheureux et en sécurité. Or, ça me semble être une posture très passive, finalement. Et là , ce sont plutôt les classes difficiles qui remettent en cause ce fonctionnement à partir du moment où un seul élève ne respecte pas les règles, ce sont tous les autres qui se retrouvent impactés et impuissants. Certains peuvent même ne plus vouloir venir à l’école ! Quel message faisons-nous alors passer malgré nous ? Est-ce vraiment ce que nous attendons du règlement de notre classe ? N’est-il pas trop limité dans cette forme ? C’est en tout cas ce que je pense. C’est pour cela que, progressivement, j’ai commencé à changer de point de vue. Les règles d’une classe devraient, selon moi, permettre à chacun d’être actif, de prendre en main son épanouissement, de garantir et préserver son propre bien-être. On considère parfois trop le bonheur à la négative c’est quand rien de mauvais ne nous arrive. Or, il dépend aussi et surtout, selon moi, de sa capacité à le construire et le protéger. De même, si on creuse un peu avec les élèves, on peut vite tourner en rond. Posez la question Comment être sage ? » aux élèves. Combien répondront En ne faisant pas de bêtises. » ? L’élève sage, ce serait donc celui qui ne fait pas » de bêtises. Mais dans ce cas, que faire avec ceux qui ne sont pas sages ? Ceux dont le comportement est problématique ? On sait tous combien dire Ne fais pas ceci. » est inefficace. De même, les contrats, les adaptations, ne devraient être que temporaires. J’ai donc envie de chercher ailleurs. Des règles actives » Les règles de la classe devraient donc, selon moi, être centré sur moi » pour chaque élève. La question n’est plus ce que doivent faire les autres » mais ce que je dois faire, moi » ou plutôt ce que je peux faire, moi ». La règle devient un espace cadré de liberté et d’action. Il faudra donc mettre au centre des échanges le comment » afin que les élèves aient des éléments concrets de mise en oeuvre. Un élève a, en général, beaucoup d’énergie. Toute cette énergie ne peut pas être constamment et exclusivement investie dans les apprentissages. J’essaye donc de les inviter à utiliser cette énergie à améliorer le cadre dans lequel ils évoluent, leurs relations avec les autres et leur estime d’eux-mêmes. Des principes limités en nombre En plus du comment », on va aussi s’intéresser au pourquoi ». En effet, si l’élève sait pourquoi il devrait faire les choses, et comment y arriver, il me semble qu’on augmente sensiblement les chances qu’il les fasse. Le pourquoi » m’apparait comme essentiel. On va pouvoir passer d’une motivation extrinsèque faire plaisir à l’adulte, peur de la punition, deux sources de stress potentielles à une motivation intrinsèque être acteur de son propre bien-être. Qui plus est, en se questionnant sur les principes qui fondent les règles, on va pouvoir se rendre compte d’une certaine cohérence qu’on aurait eu plus de mal à observer si l’élève n’était confronté qu’à une multitude de règles qui se côtoient. Comprenant cette cohérence, il sera lui-même capable de juger si une action est souhaitable ou non et donc autorisée ou non. L’élève n’est plus dans une posture d’exécutant passif qui suit les règles mais d’acteur qui pense les règles, qui réfléchit avant d’agir. Je ne suis pas en train de dire que chaque élève décide de ses propres règles mais qu’on lui donne les moyens de les comprendre et de réagir face aux situations inédites. Une inspiration les quatre accords toltèques Vous avez peut-être déjà entendu ce nom quelque part. Vous avez peut-être même déjà lu le livre Les quatre accords toltèques de Miguel Ruiz. Vous avez aussi peut-être déjà vu cette vidéo notamment dans mon article sur la gestion des conflits C’est cette dernière que je compte utiliser comme support à la réflexion avec ma classe et non le texte initial. J’ai fini par le lire et il est tout de même très philosophique, partant parfois très loin, évoquant des sujets délicats si l’on n’a pas le recul nécessaire pour les aborder. Sa lecture peut tout de même se révéler instructive. Cela dit, pour ce que je souhaite réaliser en classe, cette lecture n’est pas forcément vitale. Revenons donc à notre vidéo. Elle présente quatre accords. On parle d’accords car il s’agit d’accords que nous passons avec nous-même. La vidéo, quant à elle, parle de devenir un chevalier des temps modernes ». Elle utilise alors la comparaison avec l’équipement du chevalier l’épée représente la parole elle peut faire le bien ou faire malle bouclier protège on ne laisse pas les autres nous blesserla quête de la vérité nous pousse à ne pas faire de suppositions mais à oser poser des questionsla règle du chevalier toujours faire de son mieux son mieux à l’instant T, qui n’est pas toujours égal à lui-même Un peu plus explicite, on peut utiliser en complément cette vidéo, si la première vous semble trop imagée Je l’apprécie un peu moins car moins construite dans son discours mais étant beaucoup plus explicite, elle peut beaucoup aider les élèves s’ils n’arrivent pas trop à comprendre la première. J’aurais tendance à n’en utiliser que des extraits pour vraiment cibler chaque accord l’un après l’autre. On peut aussi préférer cette vidéo car elle influe moins la reformulation que pourraient en faire les élèves. Je crois tout de même que les images permettent une meilleure mémorisation et donc un meilleur rappel des quatre principes évoqués. Ma parole, comme l’épée, est à double tranchant Bien souvent, les élèves ont bien enregistré qu’ils peuvent faire mal, voire très mal, avec de simples mots. Ils savent aussi que certains mots les ont blessés, quoique cela mérite parfois d’être explicité. Par contre, tous n’ont pas conscience du bien qu’ils peuvent faire avec leurs mots. On peut donc prendre un moment à parler de tout ce que les mots nous permettent de faire de bien et pourquoi cela est positif et souhaitable. Il ne s’agit pas seulement de dire c’est bien » ou c’est mal ». On essaye de prendre conscience, petit à petit, qu’un climat de classe positif et serein va aussi, en retour, nous apporter beaucoup de bonnes choses. On sera plus heureux d’aller à l’école, on apprendra mieux, on aura aussi potentiellement plus de droits puisque tout se passe bien. On pourra évoquer l’importance de la coopération, d’ailleurs Seul, on va plus vite mais ensemble, on va plus loin. » Le bouclier me protège Combien de fois avons nous à gérer un Maitresse ou maitre, il a dit que j’étais bête. » remplacer bête » par tout qualificatif péjoratif. Très souvent, il me suffit de répondre Mais est-ce que c’est vrai ? ». La plupart des enfants arrivent, en général, à passer à autre chose rapidement, et heureusement. Cela dit, ce n’est pas le cas de tous. Certains vont se dire Il a dit que je suis bête parce que ce matin, je n’arrivais pas à faire mes calculs. » par exemple. Ils vont donc trouver des arguments qui confirment la théorie de l’autre et seront blessés. A ce sujet, vous apprécierez peut-être la lecture de mon article sur l’estime de soi à l’école et en classe. Le bouclier doit permettre à l’enfant de ne pas se laisser atteindre par les agressions verbales des autres. Car oui, ici, tout ne repose pas sur le respect des règles par les autres. Il s’agit aussi de pouvoir continuer d’évoluer à l’école sereinement même si quelqu’un ne respecte pas les règles. Les discussions pourront donc porter sur les différentes stratégies qu’on peut adopter pour ne pas se laisser atteindre. Certains élèves ne manquent pas d’idées dans le domaine ! Bien sûr, on évoquera le risque de ne jamais écouter les autres et de se refermer sur soi-même. Apprendre à se remettre en cause n’est pas non plus mauvais. Cependant, de l’expérience que j’en ai, les élèves qui ne se remettent pas en cause sont tout de même relativement rares, au fond. La quête de la vérité me guide Là encore, je pense que nous avons tous eu à traiter d’un problème reposant sur Il l’a fait exprès, je le sais ! », ce qui n’était pas forcément vrai. Il est difficile, pour beaucoup d’élèves, de comprendre que ce qu’ils imaginent ou croient vrai ne l’est pas forcément. Il me semble important de leur faire comprendre qu’on ne peut pas savoir, mieux que le concerné, les intentions qu’il avait. La plupart des incidents sont des accidents. On ne cherche cependant pas la vérité pour rien. On la cherche car, sinon, on se rend malheureux soi-même et on risque de le faire à tord. Donc, plutôt que de supposer et d’imaginer, le mieux est souvent le dialogue avec le concerné. Ainsi, on peut régler le problème beaucoup plus vite et plus facilement. En plus, on évite les débordements qui peuvent avoir lieu formation de groupes, revanches, etc.. La règle est de faire de son mieux Qu’on parle de comportement ou de travail scolaire, l’élève fait de son mieux. On développe alors le goût de l’effort. On ne peut pas réussir si on ne donne pas tout pour essayer. Un élève passif n’apprendra rien. Un élève passif sera aussi dépendant des autres pour son propre bien-être. On fait donc de son mieux dans ses apprentissages et dans son comportement avec les autres. Néanmoins, on apprend aussi à relativiser. On ne peut pas réussir tout le temps. Faire de son mieux, ce n’est pas toujours pareil d’un jour sur l’autre ou selon le moment de la journée. Si on est fatigué, on fera un peu moins bien que si on est en forme. Et si on se sent vraiment très motivé et énergique, on peut tenter des choses formidables. Le tout, c’est de ne pas culpabiliser ou redouter l’échec. Tant que nous faisons de notre mieux, rien ne peut nous être reproché. Et surtout on ne peut rien se reprocher à soi-même. Mise en oeuvre dans la classe A partir de toutes ces réflexions personnelles, j’en viens à ce que je compte tenter de mettre en place en classe l’année prochaine. Bien sûr, quel que soit mon projet initial, il devra s’adapter à ma classe mais aussi à l’école et à ce qui se fait déjà . On ne peut pas arriver et tout chambouler sans avoir cherché à comprendre ce qui existe déjà . Il est donc à noter que, si tout ce qui précède s’appuie sur mon expérience passée, ce qui suit est encore à l’état de projet. Je ne dessinerai que les grandes lignes de celui-ci, vous laissant le soin de vous en saisir et de vous l’approprier s’il vous inspire. Le cadre du travail sur les règles Tout d’abord, je souhaite partir de ce que les élèves pensent, savent et vivent. De ce fait, il ne s’agira pas de partir d’un support vidéo, livre pour en déduire des règles. Selon l’âge des élèves, je m’attends à trouver des règles niveau 1 les habituels d’un règlement de classe ou des règles secondaires niveau 2 toutes ces variantes qui en découlent. Un grand travail de catégorisation me semble donc important Quelles règles vont ensemble ? Quelles règles reviennent au même ? Quelles règles sont essentielles et quelles autres sont trop situationnelles ? Je compte partir d’une recherche individuelle puis d’un travail de groupe, sans doute pour produire une affiche. Ensuite, seulement, d’une mise en commun collective afin que chaque groupe puisse présenter l’état de sa réflexion. On pourrait dire que tout cela constitue le recueil des représentations initiales et une première tentative de les organiser. L’avantage de ce temps est aussi de permettre d’observer quels sont les éléments saillants que partagent déjà tous les élèves ou une majorité de la classe. Je n’hésiterai pas à introduire, aux moments que je juge opportuns, les questions pourquoi » et comment ». Le but, c’est aussi de leur faire réaliser que ce qui leur semble évident n’est pas forcément aussi facile et clair qu’ils ne le pensaient. Autre avantage de commencer par là on aura un support provisoire pour que le groupe classe fonctionne bien que le travail sur les règles de la classe ne soit pas abouti. Le reste du travail prendra du temps. J’envisage une semaine par accord, ce qui fait 5 semaines de travail minimum. Ce n’est que dans un second temps qu’interviendra la vidéo sur les accords toltèques la première. Les débats et discussions entre élèves Pour la suite, le but est de provoquer le débat. Il ne s’agit donc pas de fournir des réponses toutes prêtes ou de regarder la vidéo et d’en faire un résumé. Des débats classiques On peut envisager différents sujets de débat ou discussion A quoi sert la parole ? » Que pouvons-nous faire avec que ne font pas les animaux, par exemple ? » Comment se protéger quand quelqu’un nous dit quelque chose de désagréable ? » Comment est-ce que je réagis quand je suis blessé ? » Comment faire mieux ? » Comment régler le problème ? » On pourra adopter le déroulement classique recherche individuelle puis en groupe et mise en commun collective pour discussion finale, par exemple. La vidéo pourra intervenir soit pendant le travail de groupe soit au final, pour que la classe puisse voir ce qu’elle nous apporte comme idées nouvelles. Les dilemmes moraux On peut aussi opter pour les dilemmes moraux » il s’agit d’une question où il n’y a pas de réponse évidente. Habituellement, je propose ou sélectionne, après un brainstorming collectif, deux ou trois réponses. Chaque réponse est matérialisée par un coin dans la classe ne pas avoir peur de bouger les tables. Les élèves se placent dans le coin qui correspond à leur réponse. Ensuite, un élève va justifier son choix et essayer de convaincre les autres. Tout au long de la discussion, les autres élèves et même lui pourront se déplacer s’ils changent d’avis. Celui qui mène la discussion l’enseignant en général va alors interroger les élèves sur leurs changements ou les autres volontaires pour s’exprimer. L’avantage, c’est que tous participent, même s’ils ne parlent pas. Quelques exemples de situations Samedi, Mehdi fête son anniversaire. Il a invité Julien, mon meilleur copain, mais pas moi. Comment réagir ? exemples de réponses possibles je ne parle plus à Mehdi, je demande à Julien de ne pas y aller, j’invite Julien à venir chez moi ce jour-là , je vais en parler avec Julien, je vais en parler avec Mehdi, etc.Je rentre le soir après l’école avec ma grande sœur. Mes parents ne sont pas encore rentrés. Je n’ai pas beaucoup de devoirs, ma sœur n’en a pas du tout et elle veut jouer à un jeu avec moi. Je peux commencer par faire mes devoirs puis jouer avec ma sœur ou l’inverse. La vidéo peut, là encore, être utilisée en cours de débat, lorsqu’on sent que les échanges s’essoufflent, ou à la fin. Ce dispositif, s’il semble intéressant, présente une petite difficulté potentielle. Certains élèves chercheront la » bonne réponse, celle attendue par le professeur. Cela peut les inhiber. De même, d’autres élèves voudront gagner » et donc seront moins réceptifs aux arguments de leurs camarades. Ce sont deux cas de figure à anticiper. La reformulation par les élèves A la fin de chaque séance, le but sera de faire produire une règle, ou plutôt un grand principe. On peut aussi envisager une dernière séance dédiée. J’ai beau partir des quatre accords toltèques, il est essentiel que les élèves puissent s’approprier les idées de ces principes et trouvent les mots qui leur parlent. De mon côté, j’envisage de faire produire une affiche par principe et par groupe. Pour cela, je prévois quatre grandes feuilles colorées et quelques visuels issus de la première vidéo pour rappeler notre réflexion. Je vous les propose en A4 et A5. Images – les accords toltèques pour les enfants Si vous travaillez avec le thème de la mythologie, les illustrations ci-dessous pourront vous servir à produire des affiches. Je suis partie d’images du site que j’ai largement adapté avec des costumes d’inspiration greco-romaine. Accords Toltèques – Enfants – Mythologie Un exemple avec mes CM1 Voici, à titre d’exemple seulement, les règles que ma classe de CM1, il y a un peu plus de deux ans, avait établie. Ces règles pouvaient évoluer, on pouvait retirer une règle, modifier en collant par-dessus ou en ajouter d’où l’espace libre. Ils ont aussi participé à la création de l’affichage. Pour aller plus loin Je vous ai déjà parlé, il y a peu, du site Climat Scolaire » du réseau Canopé. On y trouve aussi des articles sur les règles et le règlement. Je trouve l’article Agir avec un cadre explicite et explicité » intéressant car il permet de changer d’échelle et de mettre les choses en perspective. S’appuyant sur les résultats de la recherche, on nous informe de certains fondamentaux de la gestion des règles et des comportements. L’article présente aussi l’intérêt de fournir des pistes d’action concrètes à plusieurs échelles afin d’améliorer les choses au sein d’un établissement. Aussi, Récréatisse avait déjà proposé un excellent travail autour des accords toltèques, très adapté aux plus jeunes je trouve. Elle partait de l’ouvrage Les accords toltèques expliqués aux enfants ». Je vous conseille vivement de découvrir son travail ! Il est très détaillé et vraiment complet. C’est du clés en mains. Sur le site apprendre à éduquer », vous trouverez aussi un résumé des quatre accords toltèques originaux » ceux du livre de Miguel Ruiz et une affiche pour les enfants. Les drapeaux dans l’article et utilisés pour l’image d’en-tête restent la propriété de leur auteur. Ils sont extraits de la vidéo Les accords toltèques racontés aux enfants . Aucun de mes partages n'a la prétention d'être parfait et surtout pas les longs articles. N'hésitez pas à me signaler les coquilles via le formulaire de aussi vous pouvez partager une expérience, une réflexion, une question ou des éléments de réponse. Et tout ça, c'est dans la partie commentaire que ça se passe ! Deviensun chevalier des temps modernes. Histoires racontées. Le petit chevalier qui n'aimait pas la pluie. Le château qui puait trop . La petite princesse et le vent. Le chaudron du dragon. La fête du dragon. La petite princesse qui n'aimait pas les livres. Petite princesse ne veut pas aller au lit. Les châteaux-forts. Châteaux forts. COMMENT DEVENIR UN CHEVALIER. Comment Chevalier Moyen Âge » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie juniorArmure du chevalier et de sa monture Attention, à ne pas confondre ! Pour les sujets ou articles dits homonymes, voir Chevalier. Sur le Moyen ÂgeLa vie des paysans au Moyen Âge Charlemagne, couronné en l'an 800 Les chevaliers au Moyen Âge Les châteaux forts L'Inquisition Les croisades L'art roman Les juifs en Europe Un chevalier est un soldat cavalier qui se bat souvent avec une épée au Moyen Âge c'est-à -dire environ de l'an 476 à l'an 1492. C'est un guerrier et un noble. Son premier devoir est de se battre pour son seigneur son suzerain dont il est le vassal. Il doit aussi obéir à d'autres règles sens de l'honneur, courage, loyauté envers Dieu. Les chevaliers doivent bien se comporter avec les dames avant le XIIe siècle les femmes étaient considérées uniquement comme des mères et des épouses. Ce n'est qu'avec le début des romans courtois qu'elles sont perçues différemment, surtout dans la chevalerie. Dans les armées, il se distingue des soldats qui se battent à pied infanterie de piétons», archers, arbalétriers, etc.... Il est le plus important d'une armée médiévale. Sommaire 1 Les étapes de sa formation 2 La cérémonie de l'adoubement 3 Son équipement 4 Ses principales occupations 5 Les différentes catégories de chevaliers 6 Liens externes Les étapes de sa formation[modifier modifier le wikicode] À 7 ans le futur chevalier part de chez lui pour aller se former au métier de chevalier. Il est confié à un ami de la famille pour lui c'est une sorte d'oncle. Deux ou trois ans plus tard il devient page, il s'occupe des chevaux, prépare les habits de son oncle et il l'aide à se vêtir. Le futur chevalier à 13 ans peut enfin rejoindre les autres à la guerre. On le nomme écuyer d'un autre chevalier qu'il va devoir assister en attendant de devenir chevalier. La cérémonie de l'adoubement[modifier modifier le wikicode] Adoubement veut dire s’équiper. Le chevalier reçoit ses armes au cours de la cérémonie de l'adoubement. Elle peut avoir lieu vers 21 ans. Le garçon reçoit la collée un coup sur l'épaule ou la nuque. C'est à ce moment-là qu'il reçoit une armure, cheval, etc. Son équipement[modifier modifier le wikicode] L'équipement du chevalier il porte une épée, un bouclier, une lance, un casque, une cotte de mailles appelée également haubert ou une armure et parfois une arbalète ou un grand arc avec des flèches. Souvent, il porte sur son bouclier ou sur son torse un blason qui permet de le reconnaître c'est l'écu. Ses principales occupations[modifier modifier le wikicode] Les activités du chevalier son occupation principale est la guerre pour agrandir les terres de son seigneur et pour défendre ses terres. Lorsqu'il n'est pas en guerre, il a du temps libre pour chasser, pour participer à des tournois, pour festoyer lors de banquets qui sont de grands festins, des repas prestigieux. La chasse est un entraînement autant qu'un loisir. Les différentes catégories de chevaliers[modifier modifier le wikicode] Il y a deux catégories de chevaliers le bachelier » qui n'a pas suffisamment de vassaux pour pouvoir former une bannière » c'est-à -dire un groupe de guerriers l'accompagnant à la guerre. Le bachelier porte un pennon, sorte de drapeau terminé en pointe. le banneret » qui a des vassaux les bacheliers en nombre suffisant pour former une bannière ». Le banneret porte une bannière carrée. De plus pour rallier ses hommes pendant le combat le banneret a un cri d'armes » c'est-à -dire une devise. Ainsi les sires de Montmorency, importants seigneurs d'Ile-de-France, criaient “Dieu aide au premier baron chrétien" ; le cri de guerre des rois capétiens était "Montjoie Saint-Denis". Dans une Europe profondément chrétienne, les chevaliers, comme d'autres corps de métier, se plaçaient sous la protection de certains saints. Les saints patrons des chevaliers étaient saint Michel, saint Georges et saint Maurice. Liens externes[modifier modifier le wikicode] Les chevaliers au Moyen Âge • Tous les articles de Vikidia La guerre au Moyen Âge • Tous les articles de Vikidia Les soldats d'hier ... Tous les articles de Vikidia En1868, La Périchole, sous des dehors plus littéraires (c’est Mérimée, l’inspirateur de Carmen et l’ami du pouvoir qui, le premier, a donné vie à la protagoniste en la portant sur scène en 1829 avec Le carrosse du Saint-Sacrement), conte l’histoire d’une chanteuse des rues qui accepte de devenir la maîtresse d’un puissant pour sortir de la misère et de la faim. Oyez oyez chers lecteurs du Louvr’Boîte ! Si le titre de cet article vous donne quelques impromptus frissons d’envie, qu’il a provoqué chez vous une attention particulière, c’est qu’il y a matière à prendre chez vous. Avouez n’avez-vous jamais rêvé de devenir chevalier, princesse ou roi quand vous étiez petit? Hein ? Qui n’a jamais rêvé de posséder un château ou de tout simplement pouvoir se pavaner dans les Cours européennes ? Toutes ces fictions qui font illusionner les plus utopiques d’entre nous. Et bien cher lecteur, pour vivre tout cela, il fallait naître des siècles auparavant. Et encore, vous auriez eu plus de chance de voir le jour dans un village au fin fond de la Bretagne à manger de la terre et à mourir à vingt-cinq ans. Mais le monde moderne est merveilleux, à défaut d’avoir inventé la machine à remonter le temps, il a créé toutes sortes de manières pour accéder à la noblesse. En effet, si autrefois il était compliqué, voire quasiment impossible d’accéder à cette branche si fermée de la société, il existe désormais des façons, somme toute, égales, d’entrer dans ce groupe. Mais rassurez-vous, vous n’avez désormais plus besoin de jouer la comédie et de vous couvrir de ridicule comme Monsieur Jourdain si vous désirez ardemment faire partie de ce cercle fascinant qu’est l’aristocratie. Un nouveau laird » de Glencoe en Écosse En premier lieu, si vous sentez que sommeille en vous une âme de highlander, je ne peux que vous conseiller d’acheter un petit lopin de terre en Écosse. Pour moins de cinquante euros vous pouvez devenir Lord ou lady de Glencoe. Si c’est pas génial pour pouvoir faire son intéressante en dîners mondains ou simples soirées cela marche aussi. Mais surtout, comme les quelques 200 000 personnes avant vous, vous pourrez œuvrer pour une louable cause. Effectivement, si vous pouvez pour une modique somme vous prétendre laird, c’est qu’il y a tout un projet derrière. En achetant votre terrain, vous contribuez à sauvegarder la faune et la flore des Highlands. Ainsi, vous irez planter votre tente en tant que noble et en ayant la conviction d’avoir fait une bonne action pour la planète. Vous serez un vaillant chevalier de la forêt millénaire écossaise tout en profitant du paysage splendide. Dame nature vous remerciera, pour sûr ! Néanmoins, si vous vous sentez d’humeur assez peu écologique ou que vous n’aimez simplement pas la météo des Highlands absolument personne ne vous blâmera, il faut vraiment aimer la pluie et les nuits sans fin pour résider là -bas, vous pouvez toujours vous tourner vers l’Italie. Il y fait meilleur cela va de soi. Pays des pâtes, désormais aliment de prédilection de tout étudiant lambda. Mais revenons-en aux faits cette fois, il vous faudra sans doute débourser un peu plus que pour les terres des Highlands donc en tant qu’étudiant on est peut-être moins bien placé. Pour faire bref, vous pouvez acheter des titres comme ceux de comte, duc et autres marquis en toute légalité. Les transferts de ces titres de Noblesse et Féodaux sont faits par des avocats européens expérimentés rassurant non ? Aucun risque de finir en prison, enfin normalement. Et évidemment ceux-ci sont héritables c’est mieux n’est-il pas ?. Cela peut être un atout indéniable sur votre CV et, optionnellement, votre égo. Et puis, c’est joli l’Italie, il fait beau, il y a la mer et un énorme patrimoine l’Écosse aussi me direz-vous et vous n’auriez pas tort. Sinon… Il vous reste la méthode Megan Markle. Tout est possible, après je ne vous cache pas qu’il faut être un minimum célèbre pour avoir peut-être, probablement, sous certaines conditions, rencontré le prince charmant ou la princesse cela dépend de vous. Bon… soyons honnête, on ne vit pas dans un film un peu cliché ou dans une chronique Wattpad, cela m’étonnerait que vous ayez une histoire avec un membre d’une quelconque famille royale. MAIS ! Il n’y a pas qu’eux, il existe énormément d’autres familles. C’est pas super éthique mais qui sait ! Vous tomberez peut-être follement d’un individu qui se trouve être noble depuis maintes générations. Il ne vous reste plus qu’à faire jouer votre réseau… Pour résumer et enfin conclure, on peut dire que la noblesse est toujours accessible. Que vous soyez fan d’Outlander, des Médicis ou des potins, il y a le choix. Cela n’est pas la mer à boire dans la majorité des cas. Perso j’ai un p’tit coup de cœur pour l’Écosse mais ça c’est parce que j’aime ce pays au-delà du raisonnable. Oui, en dépit du mauvais temps et de leur accent. Je vous laisse sur cette note, vous avez à réfléchir si vous désirez passer le cap. Éloïse Briand . 194 57 217 270 412 61 264 307