Cet ouvrage témoigne de l’intervention spectaculaire de Daniel Buren sur le bâtiment de la Fondation Louis Vuitton et reprend le cheminement de son travail sur la transparence depuis les années 1970. Un important corpus d’œuvres réunies pour la première fois autour de ce thème. L’ouvrage commence par l’œuvre temporaire qu’il a conçue en dialogue étroit avec l’architecture de Frank Gehry. Elle se déploie sur l’ensemble des verrières, élément emblématique de l’édifice. Les douze voiles, constituées de 3 600 verres, sont recouvertes en quinconce de filtres colorés qui sont à leur tour, ponctués à distances égales les uns des autres par des bandes alternativement blanches et vides, axées perpendiculairement au sol. À travers un jeu de couleurs, de projections, de reflets, de transparences et de contrastes, à la fois intérieur et extérieur, Daniel Buren propose un nouveau regard sur le bâtiment. Dans une deuxième partie, l’ouvrage retrace la genèse et l’évolution du travail de l’artiste sur la lumière, la couleur et la transparence à travers un parcours chronologique parmi ses œuvres depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui. Un long entretien entre l’artiste et Suzanne Pagé, directeur artistique de la Fondation Louis Vuitton, nous éclaire sur les multiples facettes de cette rencontre avec l’architecture de Frank Gehry en lien avec son travail en général et ses inspirations. Édition bilingue français-anglais Relié, 17 x 24 cm 468 pages 420 photographies couleur et N&B Entretien entre Daniel Buren et Suzanne Pagé En coédition avec la Fondation Louis Vuitton Exposition L’Observatoire de la lumière, Travail in situ Fondation Louis Vuitton À partir du 11 mai 2016 Doubles pages ci-contre L'Observatoire de la lumière - Fondation Louis Vuitton, photographies de Iwan Baan exceptée pour la vue aérienne prise par Philippe Guignard / Air images. Puis, Transparences de quelques travux in situ et situés, 1970-2015, photos-souvenirs de Daniel Buren. ISBN 978-2-36511-106-5
Conçueen dialogue avec le bâtiment de Frank Gehry, l'œuvre de Daniel Buren intitulée L'Observatoire de la lumière se déploie sur l’ensemble des verrières, élément emblématique de l’édifice. Le film de Gilles Coudert suit l'évolution de l'œuvre depuis la pose des filtres colorés jusqu'à sa découverte par les visiteurs qui nous livrent leurs impressions. Daniel Buren nous Expédié sous 7 jours Livraison à partir de 0,01€ dès 35€ d'achats Pour une livraison en France métropolitaine QUANTITÉ Résumé Éditions Xavier Barral Buren-Vuitton Titre Daniel Buren L'Observatoire de la lumière, travail in situ 17 x 24 cm 480 pages 45 ? À l'occasion d'une importante intervention de Daniel Buren à la Fondation Louis Vuitton à Paris, la Fondation et les Editions Xavier Barral publient un catalogue réunissant par décennie l'ensemble des travaux de Buren sur la transparence et la lumière, de 1970 à nos jours. L'ouvrage s'ouvrira sur le projet réalisé à la Fondation et conçu dans un dialogue étroit avec l'architecture de Frank Gehry, qui sera présenté à partir du 11 mai 2016. Ce livre inclura un entretien entre l'artiste et Suzanne Pagé. Caractéristiques techniques PAPIER Éditeurs Xavier Barral Auteurs Daniel Buren Collection Beaux Livres Parution 26/05/2016 Nb. de pages 256 Format 18 x Couverture Relié Poids 1260g EAN13 9782365111065 Avantages Livraison à partir de 0,01 € en France métropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles Résumé Caractéristiques techniques Nos clients ont également achetéDanielBuren : L'Observatoire de la lumière Art, Art contemporain Time Out dit Miroir aux alouettes ou cocon coloré, l’œuvre de Daniel Buren fascine mais ne bouleverse pas. A partir du 11 mai, Daniel Buren investit le « navire » de la Fondation Louis Vuitton.Cet article date de plus de cinq ans. Le centre d'Art La Chapelle Jeanne d'Arc à Thouars a reçu la visite du sculpteur Daniel Buren. L'artiste a revisité in situ cette chapelle néo-gothique en travaillant à partir de la grande rosace de l'édifice. Son but repenser le volume et la lumière. Cette exposition baptisée "Cela va sans dire, travail in situ" est visible gratuitement jusqu'au 23 octobre 2011. Article rédigé par Publié le 06/12/2016 0630 Temps de lecture 1 min. En 2008, dans le Tarn, Daniel Buren avait répondu à l'invitation du Centre d'art Le Lait. Il avait alors proposé un travail autour des Moulins albigeois avec un dispositif aquatique qui sillonnaient les salles grâce à des gouttières transparentes . C'est en découvrant cette approche que les responsables du centre d'art La Chapelle Jeanne ont eu l'idée d'inviter Daniel Buren à repenser les lieux. La chapelle Jeanne d'arc a été construite au 19ème siècle, mais avec comme principale source d'inspiration, l'architecture de la fin du Moyen-Age en Val de Loire. Elle accueille depuis plusieurs années un centre d'art contemporain qui chaque été invite un artiste dont la mission est de "bousculer" ce lieu. Une mission qu'ont déjà rempli Michel Verjux 1998, Felice Varini 1999, Laurent Saksik 2003, Krijn de Koning 2004, Delphine Coindet 2005 Kees Visser 2006 , Vincent Lamouroux 2007, John Tremblay 2008 et Stéphane Calais 2010.A voir aussi sur Culturebox - "Intrusions" et "La reprise", 2 expositions d'oeuvres du FRAC Poitou-Charentes- "Reg'art sur l'autre", un regard de femmes sur les grands maîtres- Arnaud Vasseux et Yann Esnault invités de L'art dans les Chapelles 2010Daniel Buren - site officiel Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Sculpture
La lumière, déterminante pour la perception, est intégrée aux travaux de Daniel Buren. Tout aussi insaisissable et indescriptible que la couleur, elle joue avec certains matériaux, réfléchissants, translucides ou transparents, ainsi qu’avec les formes et les ombres, avec les couleurs justement, transformant l’œuvre et son environnement à chaque instant. Par une infinité de configurations, de manière plus ou moins évidente, la lumière fait donc toujours partie de l’ensemble – ce qui n’étonnera pas, dans la logique du travail in situ, puisque notre appréciation d’un lieu peut totalement changer en fonction de sa lumière ou de son éclairage. D’ailleurs, Daniel Buren a souvent mis en évidence à travers ses travaux dans les institutions, des questions d’éclairage propres aux musées lumière zénithale naturelle masquée au profit d’un éclairage artificiel stable, verrières et puits de lumière mal utilisés ou éclairages manipulant la perception des œuvres. Daniel Buren a également recours à l’éclairage artificiel, notamment lorsqu’il s’agit d’éclairer un espace pendant la nuit. Ainsi Les Deux Plateaux, dans la cour d’honneur du Palais-Royal à Paris, offrent-ils un spectacle tout autre au crépuscule, lorsque l’éclairage se met en marche. Ce sont deux lectures possibles de l’œuvre, diurne et nocturne, ce qui montre encore la puissance et l’influence de la lumière sur notre perception. Depuis les dispositifs les plus simples lumière naturelle, traditionnels et ancestraux lampions, lanternes, vitraux jusqu’aux dernières innovations technologiques fibres optiques, la sensation lumineuse, qui influe sur l’apparence des objets et des espaces, est l’un des éléments fondamentaux avec lesquels jouent les interventions de Daniel Buren. La lumière traverse, change, se colore, elle est brutale ou tamisée, naturelle ou artificielle dans tous les cas elle agit indéniablement et considérablement sur notre vision, au fil des heures et des saisons.
. 433 20 339 139 433 157 320 316