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À l'occasion de la diffusion du film culte Il était une fois en Amérique dimanche 6 mars 2022, à partir de 20h55 sur Arte, Télé Star vous dévoile quelle polémique ce long-métrage a suscité lors de sa sortie en au cinéma en 1984, le film culte Il était une fois en Amérique, porté par Robert De Niro, James Woods et Elizabeth McGovern, sera rediffusé dimanche 6 mars 2022, à partir de 20h55 sur la chaîne franco-allemande Arte. Réalisé par Sergio Leone, ce long-métrage est en fait le 3ème volet d'une saga portant sur plusieurs périodes clés de l'histoire américaine. Le premier opus, Il était une fois dans l'Ouest, se situait à l'époque de la conquête de l'Ouest. L'action du 2ème épisode, Il était une fois la révolution, se déroulait en pleine révolution mexicaine, tandis que Il était une fois en Amérique clôture cette trilogie, en revenant sur la Prohibition et l'avènement du de sa sortie en salles, Il était une fois en Amérique a dû faire face à de nombreuses protestations. Il était notamment reproché au film de Sergio Leone sa manière de dépeindre la communauté juive de New York, qui n'échappa donc pas aux critiques du peuple israélite. Le gouvernement d'Israël ira même jusqu'à parler d'une "terrible humiliation" à l'époque. Le long-métrage se heurta également aux protestations de nombreux mouvements féministes, qui voyaient d'un mauvais oeil les violences commises sur les femmes. Au final, Il était une fois en Amérique fut un immense désastre était une fois en Amérique le dernier film de Sergio LeoneAyant nécéssité un investissement global compris entre 30 et 40 millions de dollars, ce qui représentait une immense fortune à l'époque, l'exploitation du film en salles se solda par un gros échec commercial aux États-Unis. Il était une fois en Amérique enregistra seulement 2,5 millions de dollars de recettes sur le sol américain. Pour l'anecdote, le budget de production du film explosa, dépassant les prévisions de trois millions de dollars. En tout, le tournage de ce long-métrage a duré plus d'un an, avec de nombreuses prises de vue en extérieur à New York, Toronto, Rome et Venise. Ce film marqua par ailleurs la toute dernière réalisation du cinéaste Sergio Leone, qui est mort 5 ans après sa sortie au cinéma. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © WARNER BROS 2/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 3/12 - SCOTT TILER, BRIAN BLOOM, ADRIAN CURRAN ET RUSTY JACOBS ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE SCOTT TILER BRIAN BLOOM ADRIAN CURRANRUSTY JACOBS © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 4/12 - SCOTT TILER, BRIAN BLOOM, ADRIAN CURRAN ET RUSTY JACOBS ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE ADRIAN CURRAN BRIAN BLOOM RUSTY JACOBSSCOTT TILER © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 5/12 - SCOTT TILER ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESCOTT TILER © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 6/12 - TUESDAY WELD ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONETUESDAY WELD © WARNER BROS 7/12 - ROBERT DE NIRO ET ELIZABEYH MAC GOVERN ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE ROBERT DE NIROELIZABEYH MAC GOVERN © WARNER BROS 8/12 - JAMES WOOD ET ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE JAMES WOODROBERT DE NIRO © WARNER BROS 9/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 10/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 11/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 12/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONEIlétait une fois en Amérique étant un film Warner, les productions MGM et Paramount qu'étaient la trilogie du dollars, ainsi que les deux premiers volets de la trilogie américaine, ne sont
Résuméde Il était une fois en Amérique Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d’éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de
Sergio Leone, 1984 LE COMMENTAIRE Personne ne touche jamais au grisbi cf Les tontons flingueurs. Pas de ligne d’arrivée. Juste des étapes. Les récompenses se transforment en avances sur honoraires. L’appétit de plus cf There will be blood. Jamais assez. À l’infini. Ce qui ressemble à une épilogue n’est finalement rien d’autre qu’un prologue. LE PITCH Un gangster revient sur les lieux du crime. LE RÉSUMÉ David Noodles » Aaronson Robert de Niro revient à New York, des années après avoir du fuir à Buffalo. Des années après la mort de ses amis Patrick Goldberg James Hayden, Philippe Stein William Forsythe et Maximilian Bercovicz James Woods qu’il avait dénoncés à la police – sur les conseils de Carol Tuesday Weld. If you were all in jail first, there wouldn’t be any bank job. Noodles revient après avoir reçu une mystérieuse note de la part d’un rabbin, l’informant que les tombent de ses amis allaient être déplacées au cimetière de Riverdale. Quelqu’un sait visiblement qu’il se cache. Where’s he hiding? De retour dans le lower East Side, chez Fat Moe Larry Rapp, David se refait l’histoire Les grands débuts dans les années 20. Quand il regardait Deborah Jennifer Connelly à travers un oeilleton, celle qui serait la femme de sa vie. Les premières petites arnaques pour Bugsy James Russo. L’ambition. Les plus grosses arnaques pour Al Capuano Clem Caserta. Le butin planqué dans un casier de consigne à la gare. Jusqu’à la mort de Dominic Noah Moazezi, abattu par Bugsy. Noodles se venge et écope d’une peine de prison, sans passer par la case départ cf Bad Boys. À sa sortie, douze ans plus tard, il retrouve ses amis. C’est reparti pour les braquages et la contrebande d’alcool. C’est à Detroit qu’il fait la rencontre de Carol pour la première fois, en la violant malgré l’ordre de Joe Burt Young. Tout comme il viole Deborah dans une limousine cf Irreversible, Comme si de rien n’était, après qu’elle l’informe de sa décision de vouloir poursuivre sa carrière en Californie. I’m leaving tomorrow to go to Hollywood. Puis vint la fin de la prohibition, avec l’obligation pour ces gangsters de trouver de nouveaux relais de croissance. Max a l’ambition de braquer la réserve fédérale. Noodles le dénonce pour éviter de plus gros ennuis. L’arrestation se passe mal, les trois compères sont abattus. Les années ont passé. Noodles retrouve la trace de Deborah, désormais compagne du sénateur Bailey, qui n’est autre que… Max. Max a profité de ses liens avec la police corrompue pour échapper au règlement de compte, et changer d’identité. Homme politique puissant mais menacé, ses jours sont maintenant comptés. Il demande à son ami de finir le travail. Noodles refuse, tout en lui souhaitant le meilleur. I hope the investigation turns out to be nothing. It’d be a shame to see a lifetime of work go to waste. Noodles quitte la propriété à côté de laquelle se trouve stationné un camion ordures. Max sort à son tour et se fait happer par la broyeuse, à mesure que le camion s’en va au loin. Ses phares se confondent avec ceux d’une voiture ancienne à bord de laquelle des fêtards boivent du vin pétillant sur l’air de God Bless America. Noodles se rappelle du quartier Chinois. Là où tous les ennuis s’évaporaient dans un nuage d’opium, avec un sourire. L’EXPLICATION Il était une fois en Amérique, c’est le rêve américain. Joe Dassin n’avait dans les yeux que l’Amérique. Pourquoi ? À cause du fameux rêve américain. La promesse que n’importe qui puisse y prospérer de par son travail, son courage et sa détermination cf Minari. Les petites qui peuvent devenir grandes cf Rocky. Mener la grande vie. Living the life. C’est à dire, affirmer ses ambitions sans passer pour un arriviste – comme Noodles et ses copains qui comprennent très vite qu’ils peuvent être leurs propres patrons. Ils prennent le blé où il est, selon l’expression consacrée. Take the money and run. Réussi évidemment. Accumuler du capital. Mais pas que. Le rêve américain, c’est aussi se faire des amis. Une aventure humaine qui n’est pas qu’une histoire de gros sous. Noodles ne serait rien sans ses acolytes Pat, Phil et Max. Les trois mousquetaires avec lesquels il va faire les 400 coups. En Amérique, on vit de grandes histoires d’amour comme celle entre Noodles et Deborah cf Love Story. L’amour au premier regard, qui trompe les années cf Interstellar. Le coeur qui bat. Les belles formules. I’d think, Deborah lives. She’s out there. She exists. » And that would get me through it all. Bon, Noodles viole la femme de sa vie… Parce que la prison ne lui a malheureusement pas que rendu service. Il n’y a pas appris les bonnes manières. Noodle ne sait pas réagir à quelque chose qui lui déplaît autrement que par la violence cf A History of Violence. C’est malheureux – et ce n’est surtout pas une excuse. Preuve qu’en Amérique, on fait aussi des bêtises. Ups and downs. Beaucoup de bêtises, en vérité. Crimes, vols, mensonge, trahison… Who you protecting, you dumb asshole? A stoolie who rats on his own friends? They were your friends too! Il est certain qu’on ne voit pas le temps passer quand on s’amuse. À la fin, de cette vie il ne reste que des souvenirs parfois un peu flous. Au point que lors du dénouement, on a parfois du mal à recoller les morceaux. Quelle est cette note énigmatique du rabbin ? Comment argent a-t-il pu disparaitre ? Difficile d’y comprendre quelque chose. Why? It’s the one thing it didn’t say. Qu’est-il arrivé à Max ? A-t-il été assassiné ou s’est il suicidé ? Personne n’a le temps d’apporter de réponse qu’une voiture arrive déjà en sens inverse pour faire la fête. The show must go on cf Bohemian Rhapsody. C’est le mystère de la vie. Voilà pourquoi on préfère parler de rêve américain. L’histoire est plus belle encore si l’on se dit que tout cela n’était qu’un rêve cf Inception. To keep from going crazy, you have to cut yourself off from the outside world, just not think about it. Yet there were years that went by. It seemed like no time at all, because you’re not doing anything. À la réflexion, mieux vaut qu’il s’agisse d’une illusion. Et que tout s’arrête confortablement dans une fumerie d’opium plutôt que dans une benne à ordures. Parce qu’en Amérique, le cauchemar n’est pas remboursé. LE TRAILER Cette explication de film n’engage que son auteur.
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