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En 2020 le prix moyen versĂ© par les principales laiteries europĂ©ennes a chutĂ© de 1,4 %, mais il y a de grosses diffĂ©rences entre laiteries. C'est ce que rĂ©vĂšle l’organisme nĂ©erlandais LTO. LTO compare le prix du lait standardisĂ© pour un lait Ă  4,2 % de gras et 3,4 % de protĂ©ines, avec 1 000 000 kg livrĂ©s annuellement, bactĂ©ries sous 25 000 et moins de 250 000 cellules. Ce prix ne comprend pas les dividendes qui peuvent ĂȘtre perçus par les coopĂ©rateurs en fin de campagne. Le prix moyen est en baisse de 1,4 % Coderural et de la pĂȘche maritime : Paragraphe 1 : ModalitĂ©s du paiement du lait de vache en fonction de sa composition et de sa qualitĂ© . Les cookies nous permettent de personnaliser les annonces. Nous partageons des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de publicitĂ©, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez
LAIT/ Plusieurs entreprises se partagent aujourd'hui la collecte, la transformation et la commercialisation du lait ardĂ©chois. Qui sont-elles ? Quelles sont leurs stratĂ©gies pour se dĂ©marquer sur un marchĂ© fortement concurrentiel ? DeuxiĂšme Ă©pisode de notre sĂ©rie spĂ©ciale laiteries avec Gilles Margerit, responsable de site Ă  la Fromagerie du Vivarais DĂ©saignes. Qui est Bellevaire, qui a repris la fromagerie en 2016? Gilles Margerit Fils de producteur originaire de Loire-Atlantique, Pascal Bellevaire a constituĂ© un projet d'entreprise avec plusieurs sites de fabrication de produits laitiers Machecoul siĂšge historique pour le beurre et les fromages Ă  pĂąte molle, Normandie pour le camembert AOP, Deux-SĂšvres pour le Chabichou du Poitou AOP et les fromages de chĂšvres, Ain pour l'affinage des ComtĂ©s et pĂątes pressĂ©es cuites, Meaux pour le Brie, et Savoie oĂč il reprend l'activitĂ© de la Fromagerie de la Savoyarde. » Quels changements majeurs ce rachat a-t-il signifiĂ© ? Bellevaire possĂšde un vaste rĂ©seau de distribution avec plus d'une soixantaine de points de vente et notamment une vingtaine de magasins de vente directe dont quatre Ă  Paris. Il est notamment partenaire de Grand Frais et de petites laiteries dans toute la France. PrĂ©sent Ă  l'export, Bellevaire fournit aussi des Ă©piceries de luxe, mais Ă©galement la GMS. Le groupe a Ă©galement un partenariat avec le distributeur Tradition et Terroir ». C'Ă©tait donc, pour la Fromagerie du Vivarais, un accĂšs Ă  de nouveaux marchĂ©s et une visibilitĂ© commerciale privilĂ©giĂ©e. » Quelles sont les perspectives de dĂ©veloppement pour la Fromagerie du Vivarais ? Lors du rachat, les diffĂ©rents investissements ont permis de collecter un million de litres de lait supplĂ©mentaire sans avoir immĂ©diatement les dĂ©bouchĂ©s commerciaux derriĂšre. Mais nous avons dĂ©veloppĂ© de nouvelles gammes de produits pour accĂ©der Ă  de nouveaux dĂ©bouchĂ©s. Par exemple, nous avons dĂ©veloppĂ© une gamme de fromage Ă  raclette avec ses dĂ©clinaisons arĂŽme moutarde, truffe, poivre, piment, ail des ours.... CĂŽtĂ© dĂ©bouchĂ©s, nous venons de conclure un partenariat commercial important avec l'enseigne de fast-food Big Fernand qui Ă©coulera quasiment 50 % de notre lait de vache. Bellevaire a Ă©galement rachetĂ© l'entreprise de distribution drĂŽmoise Distral. Nous pouvons donc ĂȘtre sereins sur les dĂ©bouchĂ©s ! En revanche, nos volumes de lait suscitent davantage d'inquiĂ©tude. » Les volumes de lait sont insuffisants pour couvrir la demande ? Beaucoup de producteurs partent ou vont partir Ă  la retraite, sans forcĂ©ment avoir de repreneur. Notre zone de collecte est composĂ©e de nombreuses petites fermes avec de petits quotas, sur 210 km et dans des territoires oĂč les accĂšs sont difficiles. Cela prend une douzaine d'heures, et bien plus en cas d'intempĂ©ries ! Cela induit des coĂ»ts de transport et de logistique importants. » Comment tĂąchez-vous de crĂ©er de la valeur sur vos produits pour compenser ces difficultĂ©s ? On travaille principalement sur les laits de vache thermisĂ©s, mais le marchĂ© est aujourd'hui davantage portĂ© sur le lait cru ; plus demandĂ© et valorisĂ©. C'est pourquoi nous avons pour objectif d'atteindre rapidement une proportion de 50 % de la production en lait cru... et nous y sommes presque ! Cependant, ce n'est pas si simple avec les contraintes qui sont les nĂŽtres, et notamment le transport. Nous effectuons actuellement une tournĂ©e toutes les 48 h, et il nous faudrait passer Ă  24 h pour faire davantage de lait cru. Pour y remĂ©dier, nous sommes en train de rĂ©flĂ©chir Ă  des amĂ©nagements de la tournĂ©e, pour avoir un maximum de lait frais disponible dĂšs 3 h du matin et pouvoir ainsi dĂ©marrer la production plus tĂŽt. On essaie de tendre vers davantage de lait cru mais c'est difficile ! » CĂŽtĂ© prix, comment vous situez-vous aujourd'hui ? Ils sont nĂ©gociĂ©s chaque trimestre avec notre organisation de producteurs en interne, en fonction de l'Ă©volution du marchĂ© national, des difficultĂ©s de climat, de la valeur ajoutĂ©e... On a aujourd'hui des coĂ»ts de production importants, pour les coĂ»ts de transport et de logistique que nous avons dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©s mais aussi pour l'Ă©vacuation des sous-produits qui reprĂ©sentent une charge importante. C'est cependant difficile de le faire entendre Ă  nos clients, avec lesquels nous n'avons pas toutes les marges de manƓuvre que l'on souhaiterait. Toutefois, nous augmentons les prix chaque annĂ©e pour viser une continuitĂ©. Nous sommes aujourd'hui Ă  355 € / t en prix de base 32-38 de TP-TG, nous Ă©tions Ă  330 € / t l'an dernier... Nous avons une grille de paiement du lait Ă  la qualitĂ© par laquelle nous sanctionnons notamment de plus en plus la charge butyrique qui pose des problĂšmes au moment de l'affinage, rendant le processus plus long et plus coĂ»teux. » La tarification prend-elle en compte les diffĂ©rentes pĂ©riodes de production ? Pas jusqu'ici, mais il est vrai que nous y rĂ©flĂ©chissons. En effet, nous manquons de lait de vache d'aoĂ»t Ă  fĂ©vrier, pĂ©riode durant laquelle les Français prisent le plus les produits au lait de vache. Inversement, nous avons peu de lait de chĂšvre durant l'Ă©tĂ© qui est la pĂ©riode de consommation la plus importante. Historiquement, l'ArdĂšche produit trĂšs peu en dĂ©saisonnĂ©e. C'est pourquoi nous rĂ©flĂ©chissons Ă  valoriser plus ou moins la production en fonction de la saison. » Pourquoi ne pas avoir lancĂ© de gamme bio, un marchĂ© pourtant porteur ? Nous avons dĂ©jĂ  amĂ©nagĂ© deux compartiments chĂšvre/vache dans notre camion de collecte, et il nous est impossible d'en amĂ©nager d'autres pour le bio. Il nous faudrait une troisiĂšme tournĂ©e, ce qui serait trop lourd Ă  porter. C'est pourquoi nous avons vraiment dĂ©cidĂ© de nous orienter vers le lait cru, tout en jouant la carte du lait de montagne. Nous avons la chance d'ĂȘtre sur la zone de l'AOP picodon, et nous travaillons Ă©galement sur le dĂ©veloppement d'autres signes de qualitĂ©, notamment avec le projet de l'IGP Saint-FĂ©licien qui est en cours. » Propos recueillis par MylĂšne Coste A lire sur le mĂȘme sujet Laiterie Carrier Laiterie Rissoan Laiterie GĂ©rentes
Accordinterprofessionnel régional relatif au paiement du lait de vache en fonction de sa composition et de sa qualité du 6 décembre 2016 et son avenant du 5 décembre 2017. Nombre d'analyses minimal par Modalités de classement Référence Seuils Incidence financiÚre en {tIOODI producteur Inférieur à Inférieur à 100 000 germes/ml 0,00t: i! Germes (') 3 par mois

Le contenu protĂ©ique est l’un des critĂšres clĂ©s utilisĂ© pour Ă©valuer la qualitĂ© du lait et calculer son prix. Or ce taux est soumis Ă  de fortes variations, tant gĂ©nĂ©tiques qu’environnementales. Il est souvent difficile de compter sur les seules ressources de l’exploitation pour amĂ©liorer ce rĂ©sultat. Comment augmenter le taux protĂ©ique du lait des vaches laitiĂšres ? Le taux protĂ©ique concerne la teneur en protĂ©ines dans le lait. La rĂ©munĂ©ration du point de TP est actuellement d’environ 6€/1000l. La production d’un lait riche en matiĂšres utiles est donc une stratĂ©gie efficace pour maximiser le revenu de la vente du lait. Quels sont les facteurs de variation du taux de protĂ©ines du lait? Les variations naturelles du taux protĂ©ique ont plusieurs causes. Parmi les facteurs de variation non alimentaires, l’aspect gĂ©nĂ©tique est trĂšs important. Le TP varie entre animaux de diffĂ©rentes races mais aussi entre ceux d’une mĂȘme race. Les taux du lait d’un troupeau Ă©voluent au fil des saisons. Les jours longs et lumineux sont propices Ă  la production laitiĂšre mais diminuent les taux par effet de dilution. Les taux Ă©voluent Ă©galement au cours de la lactation. Le TP chute fortement pendant les premiĂšres semaines de lactation. Puis son niveau se stabilise et remonte progressivement au fur et Ă  mesure que la production laitiĂšre baisse. La synthĂšse des protĂ©ines laitiĂšres dĂ©pend Ă©galement de facteurs propres au mĂ©tabolisme animal, tels que l’énergie et les protĂ©ines ingĂ©rĂ©es par l’animal. Evolution du taux protĂ©ique en fonction des saison Evolution du taux protĂ©ique pendant la lactation Les besoins en PDI chez la vache laitiĂšre en fonction de sa production Les protĂ©ines laitiĂšres sont synthĂ©tisĂ©es Ă  partir d’acides aminĂ©s issus de la digestion des protĂ©ines microbiennes PDIM et alimentaires PDIA. Cette synthĂšse s’effectue dans la mamelle, ce qui demande Ă  l’animal de mobiliser une part importante d’énergie. Par consĂ©quent, l’énergie, la qualitĂ© et la quantitĂ© de protĂ©ines ingĂ©rĂ©es sont les principaux facteurs limitants du taux protĂ©ique. Quelles sont les solutions disponibles pour augmenter le taux protĂ©ique du lait ? Faire monter le niveau d’énergie, fournir des protĂ©ines supplĂ©mentaires sont autant de leviers pour amĂ©liorer le taux protĂ©ique du lait. Apport d'Ă©nergies Les vaches laitiĂšres rĂ©pondent Ă  l’apport d’énergie lorsque celle-ci est limitante. En d’autres mots, quand les vaches n’ont pas assez d’énergie, le taux protĂ©ique de leur lait ne s’exprime pas. L’ajout de 1UF unitĂ© fourragĂšre /VL/j supplĂ©mentaire par rapport aux recommandations permet d’augmenter le TP de 0,6g/kg de lait. Il est donc conseillĂ© de valoriser les fourrages ingĂ©rĂ©s car ils constituent une source d’énergie substantielle pour l’animal. De plus, l’utilisation de concentrĂ©s Ă  base de cĂ©rĂ©ales Ă  paille permet de produire de l’acide propionique C3 favorable au TP. L' Ă©nergie fermentescible est Ă©galement utile pour promouvoir la protĂ©osynthĂšse qu’opĂšrent les bactĂ©ries du rumen. Lors de la digestion, ces protĂ©ines sont dĂ©coupĂ©es en acides aminĂ©s qui serviront Ă  la synthĂšse des protĂ©ines laitiĂšres. Rapport Taux protĂ©ique / UFL Coulon, Remond, 1991 Apport de protĂ©ines en quantitĂ© et de qualitĂ© Quant Ă  l'apport des protĂ©ines permis par la protĂ©osynthĂšse, il n’est pas suffisant pour couvrir les besoins des vaches laitiĂšres fortes productrices. L’ajout de protĂ©ines by-pass aura pour effet d’augmenter la quantitĂ© totale de protĂ©ines digestibles donc, de satisfaire ces besoins Rapport mĂ©thionine / lysine La synthĂšse des protĂ©ines laitiĂšres dĂ©pend Ă©galement du profil des acides aminĂ©s disponibles pour la mamelle. La mĂ©thionine est souvent le premier acide aminĂ© limitant, notamment dans les rations Ă  base d’ensilage de maĂŻs. Il convient de prendre en compte le rapport Metdi/Lysdi fournies par les matiĂšres premiĂšres des aliments et de la ration pour avoir un rapport Metdi/Lysdi de 0,33. Bien d’autres stratĂ©gies, telles que le respect de certains niveaux nutritionnels ou l’utilisation de matiĂšres premiĂšres sur mesure sont Ă©galement Ă  mettre en place pour amĂ©liorer le taux protĂ©ique. Nos experts sont lĂ  pour vous recommander les mĂ©thodes les plus adaptĂ©es Ă  votre Ă©levage. Alors, n’hĂ©sitez pas Ă  les contacter !

Lesbutyriques sont un des critĂšres de paiement du lait. Dans la grille Cilaisud en vigueur depuis le 1er avril 2011, la moyenne arithmĂ©tique doit ĂȘtre infĂ©rieure ou Ă©gale Ă  1.000 spores/l pour ne pas ĂȘtre pĂ©nalisĂ©. Depuis cette date, il existe un joker s'il y a 12 rĂ©sultats infĂ©rieurs ou Ă©gaux Ă  1.000 spores, le premier rĂ©sultat supĂ©rieur n'est pas pris en compte, mais

La FĂ©dĂ©ration internationale du lait FIL a dĂ©veloppĂ© un Ă©chantillon Ă  teneur garantie ETG destinĂ© Ă  harmoniser le comptage cellulaire. Il sera lancĂ© le 1er avril 2021 en France et devrait induire une baisse de 15 Ă  20 % des taux cellulaires. Si en France, tous les laboratoires utilisaient dĂ©jĂ  le mĂȘme Ă©talon pour calibrer leurs appareils de comptages des cellules, ce n’était pas le cas dans le monde ou 22 Ă©talons diffĂ©rents seraient actuellement utilisĂ©s. La FIL a donc dĂ©veloppĂ© un Ă©talon international pour fournir une rĂ©fĂ©rence une baisse de 15 Ă  20 % des comptages cellulairesDes essais ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s entre cet Ă©talon international et l’étalon français utilisĂ© jusqu’ici et bonne nouvelle pour les Ă©leveurs français, il y aurait une baisse de 15 Ă  20 % des rĂ©sultats cellulaires avec la nouvelle rĂ©fĂ©rence. Un lait comptabilisĂ© Ă  260 000 cellules serait donnĂ© entre 208 000 et 221 00 cellules. MĂȘme un lait hors normes Ă  400 000 cellules serait prochainement estimĂ© entre 300 000 et 340 000 cellules. Pour autant, les grilles de paiement qualitĂ© ne devraient pas Ă©voluer.
Enjuillet 2020, la collecte de lait de vache se redresse assez subitement aprĂšs trois mois de contraction liĂ©e aux consĂ©quences du confinement. Elle progresse de 2,7 % par rapport au mois de juillet 2019. Sur la mĂȘme pĂ©riode, le prix du lait standard conventionnel (hors Bio et AOP/IGP) est estimĂ© Ă  326 C/1 000 litres, en retrait de 4,0 % par rapport Ă  2019. RĂšglement UE 2019/1870 de la Commission du 7 novembre 2019 modifiant et corrigeant le rĂšglement CE no 1881/2006 en ce qui concerne les teneurs maximales en acide Ă©rucique et en acide cyanhydrique dans certaines denrĂ©es alimentaires. du 08-11-2019 RĂšglement UE 2019/1791 de la Commission du 17 octobre 2019 modifiant les annexes II, III et IV du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus de 1-DĂ©canol, de 2,4-D, d’ABE-IT 56, de cyprodinil, de dimĂ©thĂ©namide, d’alcools gras, de florpyrauxifĂšne-benzyle, de fludioxonil, de fluopyram, de mĂ©piquat, de pendimĂ©thaline, de picolinafĂšne, de pyraflufen-Ă©thyle, de pyridaben, d’acide S-abscissique et de trifloxystrobine prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 29-10-2019 RĂšglement UE 2019/1792 de la Commission du 17 octobre 2019 modifiant les annexes II, III et V du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus d’amitrole, de fipronil, de flupyrsulfuron-mĂ©thyl, d’imazosulfuron, d’isoproturon, d’orthosulfamuron et de triasulfuron prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 29-10-2019 RĂšglement d’exĂ©cution UE 2019/1683 de la Commission du 2 octobre 2019 approuvant une modification non mineure du cahier des charges d’une dĂ©nomination enregistrĂ©e dans le registre des appellations d’origine protĂ©gĂ©es et des indications gĂ©ographiques protĂ©gĂ©es [CrĂšme d’Isigny AOP]. du 09-10-2019 Rectificatif au rĂšglement d’exĂ©cution UE 2019/627 de la Commission du 15 mars 2019 Ă©tablissant des modalitĂ©s uniformes pour la rĂ©alisation des contrĂŽles officiels en ce qui concerne les produits d’origine animale destinĂ©s Ă  la consommation humaine conformĂ©ment au rĂšglement UE 2017/625 du Parlement europĂ©en et du Conseil et modifiant le rĂšglement CE no 2074/2005 de la Commission en ce qui concerne les contrĂŽles officiels Journal officiel de l’Union europĂ©enne L 131 du 17 mai 2019. du 07-10-2019 RĂšglement UE 2019/1582 de la Commission du 25 septembre 2019 modifiant les annexes II et III du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus d'imazalil prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 26-09-2019 RĂšglement UE 2019/1561 de la Commission du 17 septembre 2019 modifiant les annexes II et III du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus de chlormĂ©quat prĂ©sents dans les champignons de couche. du 18-09-2019 RĂšglement UE 2019/1559 de la Commission du 16 septembre 2019 modifiant les annexes II et III du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus de cyflufĂ©namid, de fenbuconazole, de fluquinconazole et de tembotrione prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 17-09-2019 RĂšglement UE 2019/1176 de la Commission du 10 juillet 2019 modifiant les annexes II, III et V du rĂšglement CE no 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus d'ester mĂ©thylique de l'acide 2,5-dichlorobenzoĂŻque, du mandipropamide et de la profoxydime prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 11-07-2019 ArrĂȘtĂ© du 28 juin 2019 modifiant l'arrĂȘtĂ© du 18 dĂ©cembre 2009 relatif aux rĂšgles sanitaires applicables aux produits d'origine animale et aux denrĂ©es alimentaires en contenant. du 10-07-2019 RĂšglement d'exĂ©cution UE 2019/1139 de la Commission du 3 juillet 2019 modifiant le rĂšglement CE n° 2074/2005 en ce qui concerne les contrĂŽles officiels des denrĂ©es alimentaires d'origine animale en rapport avec les exigences concernant les informations sur la chaĂźne alimentaire et les exigences concernant les produits de la pĂȘche, ainsi qu'avec la rĂ©fĂ©rence aux mĂ©thodes reconnues d'analyse des biotoxines marines et aux mĂ©thodes de test du lait cru et du lait de vache traitĂ© thermiquement. du 04-07-2019 RĂšglement UE 2019/1015 de la Commission du 20 juin 2019 modifiant les annexes II et III du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus d'aminopyralide, de captane, de cyazofamide, de flutianil, de krĂ©soxim-mĂ©thyle, de lambda-cyhalothrine, de mandipropamide, de pyraclostrobine, de spiromĂ©sifĂšne, de spirotĂ©tramate, de tĂ©flubenzuron et de tĂ©traconazole prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 21-06-2019 RĂšglement UE 2019/977 de la Commission du 13 juin 2019 modifiant les annexes II et IV du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus d'aclonifĂšne, de Beauveria bassiana, souche PPRI 5339, de Clonostachys rosea, souche J1446, de fenpyrazamine, de mĂ©fentrifluconazole et de penconazole prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 17-06-2019 RĂšglement UE 2019/973 de la Commission du 13 juin 2019 modifiant les annexes II et III du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus de bispyribac, de benzoate de dĂ©natonium, de fenoxycarb, de flurochloridone, de quizalofop-P-Ă©thyle, de quizalofop-P-tefuryl, de propaquizafop et de tebufenozide prĂ©sents dans ou sur certains produits. du 14-06-2019 RĂšglement d'exĂ©cution UE 2019/627 de la Commission du 15 mars 2019 Ă©tablissant des modalitĂ©s uniformes pour la rĂ©alisation des contrĂŽles officiels en ce qui concerne les produits d'origine animale destinĂ©s Ă  la consommation humaine conformĂ©ment au rĂšglement UE 2017/625 du Parlement europĂ©en et du Conseil et modifiant le rĂšglement CE n° 2074/2005 de la Commission en ce qui concerne les contrĂŽles officiels. du 17-05-2019 RĂšglement d'exĂ©cution UE 2019/628 de la Commission du 8 avril 2019 concernant les modĂšles de certificats officiels relatifs Ă  certains animaux et biens et modifiant le rĂšglement CE n° 2074/2005 et le rĂšglement d'exĂ©cution UE 2016/759 en ce qui concerne ces modĂšles de certificats. du 17-05-2019 Rectificatif au rĂšglement UE 2019/50 de la Commission du 11 janvier 2019 modifiant les annexes II, III, IV et V du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus de chlorantraniliprole, de clomazone, de fenpicoxamide, de cyclaniliprole, de fenazaquine, de fluoxastrobine, de lambda-cyhalothrine, de mĂ©piquat, d'huile d'oignon, de thiaclopride et de valifĂ©nalate prĂ©sents dans ou sur certains produits JO L 10 du du 24-04-2019 DĂ©cision d'exĂ©cution UE 2019/600 de la Commission du 11 avril 2019 modifiant la dĂ©cision 2011/163/UE relative Ă  l'approbation des plans soumis par le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et les dĂ©pendances de la Couronne conformĂ©ment Ă  l'article 29 de la directive 96/23/CE du Conseil. du 12-04-2019 RĂšglement UE 2019/552 de la Commission du 4 avril 2019 modifiant les annexes II et III du rĂšglement CE n° 396/2005 du Parlement europĂ©en et du Conseil en ce qui concerne les limites maximales applicables aux rĂ©sidus d'azoxystrobine, de bicyclopyrone, de chlormĂ©quat, de cyprodinil, de difĂ©noconazole, de fenpropimorphe, de fenpyroximate, de fluopyrame, de fosĂ©tyl, d'isoprothiolane, d'isopyrazam, d'oxamyl, de prothioconazole, de spinĂ©toram, de trifloxystrobine et de triflumĂ©zopyrim prĂ©sents dans ou sur certains produits . du 05-04-2019 RĂšglement d'exĂ©cution UE 2019/533 de la Commission du 28 mars 2019 concernant un programme de contrĂŽle, pluriannuel et coordonnĂ©, de l'Union pour 2020, 2021 et 2022, destinĂ© Ă  garantir le respect des teneurs maximales en rĂ©sidus de pesticides dans et sur les denrĂ©es alimentaires d'origine vĂ©gĂ©tale et animale et Ă  Ă©valuer l'exposition du consommateur Ă  ces rĂ©sidus. du 29-03-2019 DĂ©cision d'exĂ©cution UE 2019/525 de la Commission du 26 mars 2019 modifiant la dĂ©cision 2011/163/UE relative Ă  l'approbation des plans soumis par les pays tiers conformĂ©ment Ă  l'article 29 de la directive 96/23/CE du Conseil. du 28-03-2019 ArrĂȘtĂ© du 28 janvier 2019 relatif Ă  l'extension de l'accord interprofessionnel relatif Ă  la cotisation prĂ©levĂ©e au bĂ©nĂ©fice des actions de l'Association nationale interprofessionnelle Caprine ANICAP. du 05-02-2019 ArrĂȘtĂ© du 25 janvier 2019 modifiant l'arrĂȘtĂ© du 9 novembre 2012 relatif aux modalitĂ©s de paiement du lait de vache, de brebis ou de chĂšvre en fonction de sa composition et de sa qualitĂ© hygiĂ©nique et sanitaire. du 30-01-2019 . 322 253 189 65 31 52 208 234

grille de paiement du lait de vache 2020